Abigail Goldman | Sweet Dreams (MONTREAL)

Words:
Station 16
27/10/2017
Events & Projects

Station 16 Gallery is thrilled to present Sweet Dreams, a solo exhibition by contemporary artist Abigail Goldman highlighting a selection of her miniature murder scenes. Created at a scale of 1:87, Goldman's "die-o-ramas" present intricately gruesome crime scenes and violent acts. Having worked many years as a reporter and investigator for the Federal Public Defender in Las Vegas, Goldman draws on her work experience to create pieces that put an interesting spin on society’s fascination with crime. The vernissage will be held on October 26th from 6:00 to 9:00 pm at Station 16 Gallery and the exhibition will run until November 18th 2017.

Artist: Abigail Goldman
October 26th - November 18th 2017
Vernissage: October 26th, 6:00 PM - 9:00 PM

In an interview with Juxtapoz magazine, Goldman explains: "I was drawn to reporting and investigating because of my lifelong interest in crime and bad behavior. Observing and working in the legal system gave me sideline access to the fascinating, fluid dynamics of crime – and crime can tap into everything: misery, love, malice, sex, grief, humor, humanity and inhumanity, life and death. I try to imbue all my work with that mortal mix, in miniature."

Goldman's die-o-ramas range in size from just a couple of inches to three feet long, although the scale remains the same, meaning that one foot in the real world works out to be 3.55 mm in the artwork. The figures are all less than an inch tall, she explains "The figures are actually model railroad figures - I just maim them.”

The pieces inevitably evoke curiosity in the viewer and an equal sense of revulsion at the subject matter, however, they are created with an elegant twist of humor - you can't help but marvel at them.

La Galerie Station 16 est ravie de présenter Sweet Dreams, une nouvelle exposition solo de l'artiste contemporaine Abigail Goldman, mettant en vedette une sélection de ses scènes de meurtre miniatures. Créés à l'échelle de 1:87, les «die-o-ramas» de Goldman représentent des scènes de crime et des actes violents. Après avoir travaillé pendant de nombreuses années dans le système judiciaire, Goldman s'appuie sur son expérience de travail pour créer des pièces axées sur notre fascination pour la criminalité. Le vernissage aura lieu le 26 octobre de 18h00 à 21h00 à la Galerie Station 16 et l'exposition se déroulera jusqu'au 18 novembre 2017.

Dans une entrevue avec le magazine Juxtapoz, Goldman explique : « J'ai été attirée par les reportages et les enquêtes en raison de mon intérêt pour la criminalité et les mauvais comportements tout au long de ma vie. Observer et travailler dans le système judiciaire m'a donné accès à la fascinante dynamique de la criminalité. Le crime peut puiser dans tout : la misère, l'amour, la méchanceté, le sexe, le chagrin, l'humour, l'humanité et l'inhumanité, la vie et la mort. J'essaie d'imprégner tout mon travail de ce mélange mortel en miniature. »

Les die-o-ramas de Goldman vont de quelques pouces à trois pieds de long, bien que l'échelle reste la même, ce qui signifie qu’un pied dans le monde réel équivaut à 3,55 mm dans l'œuvre d'art. Les personnages sont tous moins d'un pouce de haut, explique-t-elle. "Les personnages sont en fait des figurines de chemin de fer - je les ai juste mutilés."

Les pièces évoquent inévitablement de la curiosité chez le spectateur et un sentiment égal de révulsion à l'égard du sujet, mais elles sont créées avec une touche d'humour élégante. Vous ne pourrez pas vous empêcher de les admirer.